TheGuardians of Justice - Saison 01 FRENCH: Un bail en enfer - Saison 01 FRENCH: Fisk - Saison 01 FRENCH: 9-1-1 - Saison 05 FRENCH: New York District / New York Police Judiciaire - Saison 21 VOSTFR: NCIS : Enquêtes spéciales - Saison 19 FRENCH: White Sands - Saison 01 FRENCH: All American: Homecoming - Saison 01 VOSTFR : Vikings: Valhalla - Saison 01 VOSTFR: Deux fois
TheGuardians of Justice est un OVNI parmi les séries à venir sur Netflix, et conserve à quelques jours de sa sortie une immense part de mystère. La r Ajouter un contenu Les avantages We Are PlayStation L'actualité des communautés Toutes les communautés Les avis des joueurs Les challenges Les astuces. Les Wapers Le coin des wapers. L'actualité
Inicio→ Series → Netflix → The Guardians of Justice. Los Guardianes de la Justicia The Guardians of Justice Ver en Netflix Si il y a une saison 2,je la commencerai pour voir,mais les 2-3 derniers épisodes il y avait bien de l'intrigues et du suspense,mais aussi beaucoup de noirceur,en revanche,j'ai bien aimé le style qui mélange ré alité et dessin animé.
TheGuardians Of Justice Season 2 Trailer (2022) Netflix, Release Date, Episode 1, Cast, Review. Search. Library. Log in. Sign up. Watch fullscreen. 5 months ago. The Guardians Of Justice Season 2 Trailer (2022) Netflix, Release Date, Episode 1, Cast, Review. Movie Coverage Trailers. Follow . 5 months ago. The Guardians Of Justice Season 2 Trailer (2022) Netflix,
Peepoodo C’est une série de l’an 2018 qui est déjà dans sa saison 2 et continue de maintenir sa qualité. Le nom original de notre . Série The Guardians of Justice: Synopsis, Opinions et plus 18 mars, 2022 fiebreseries 0. Nous
TheGuardians of Justice est une série d'action/animation de super-héros créée, écrite et réalisée par Adi Shankar .. La série est une satire [1] de la Ligue des Justiciers de DC Comics, dans laquelle Diamond Dallas Page interprète le rôle de Knight Hawk, une parodie du personnage de Batman [2].Elle est diffusée exclusivement sur Netflix depuis le 1 mars 2022.
ASWL. Toutes les infos concernant la fin de la Saison 1 de The Guardians Of Justice sur Netflix ! Spoilers ! The Guardians Of Justice est disponible sur Netflix ! Si vous souhaitez connaitre l’explication de la fin de la Saison 1, lisez la suite... Toutes les infos concernant la fin de la Saison 1 de The Guardians Of Justice sur Netflix ! Spoilers ! The Guardians Of Justice est disponible sur Netflix ! Si vous souhaitez connaitre l’explication de la fin de la Saison 1, lisez la suite ! La nouvelle série d’Adi Shankar, The Guardians Of Justice, c’est beaucoup de choses, pour ne pas dire plus. Il s’agit d’un mélange absurde et parodique d’influences, de styles, de genres et de tonalités, mêlant l’animation à l’action réelle et les intrigues de diverses histoires de super-héros bien connues à sa propre variété d’intrigues et d’actions extravagantes. Pour savoir si une saison 2 verra le jour, lisez ceci. Avec un final riche en rebondissements et une mythologie sous-jacente qui tient à la fois de l’histoire alternative, de l’originalité et de la copie flagrante, il y a aussi beaucoup de choses à décortiquer. On vous dit tout concernant la fin de la Saison 1 de The Guardians Of Justice sur Netflix ! Explication de la fin de la Saison 1 de The Guardians Of Justice sur Netflix ! La mort de Marvelous Man ressemble d’abord à un suicide, mais Laura Louis, sa femme, soupçonne un acte criminel. Le sixième épisode revisite la mort de derrière la caméra. Laura Louis a trompé Marvelous Man avec King Tsunami, et Marvelous Man était un gay refoulé. Mind Master aimait Marvelous Man plus que sa vie, mais Marvelous Man n’était pas prêt à rompre son mariage public. Devant Knight Hawk, Mind Master affirme avoir essayé d’entrer dans l’esprit de Marvelous Man pour l’empêcher d’appuyer sur la gâchette, mais la pulsion de mort de Marvelous Man était un peu trop forte. Par conséquent, il est évident que Marvelous Man s’est suicidé. Comme il est l’inventeur et l’unique propriétaire de la drogue Mellow Devil, qui mettrait fin au libre arbitre », il est possible que Mind Master ait encouragé Marvelous Man à la fin. D’un autre côté, Speed semble avoir rendu son dernier souffle à la fin de la Saison 1 de The Guardians Of Justice. Awesome Man est mentalement plus faible face à la personnalité autoritaire et manipulatrice de Knight Hawk. Par conséquent, lorsqu’il demande à Awesome Man d’enlever Speed du tableau, Awesome Man ne peut pas défier l’ordre. Cependant, la voix de Speed hante Knight Hawk même après sa mort. A la fin de la Saison 1 de The Guardians Of Justice, nous apprenons que c’est Knight Hawk qui a créé Anubis. Il a détourné la population mondiale avec un spectacle tout en rassemblant l’armée pour combattre la vraie guerre. Cependant, la véritable raison de son aventure est une prophétie que Cortex, l’IA, divulgue. Il existe dans l’univers un titan nommé Galacron, qui a l’intention de dévorer les planètes abritant des formes de vie intelligentes. Selon le père de Marvelous Man, le titan pourrait considérer la Terre comme sa prochaine proie, et Knight Hawk rassemble une armée pour contrer la menace extra-terrestre. L’article The Guardians of Justice Saison 1 Explication de la fin ! via Ayther.
3 mars 2022 - MAJ 03/03/2022 1233 Lucas Jacqui 3 mars 2022 - MAJ 03/03/2022 1233 Comédie Fantastique Animation Passionné de comics, Adi Shankar s'est fait un nom en produisant des fan-fictions puis des longs-métrages comme Dredd ou The Voices. Avec Netflix, il crée et produit en 2017 la série animée Castlevania basée sur le jeu du même nom. Le voici maintenant aux commandes de sa propre série super-héroïque qu'il a produite, écrite et réalisée, The Guardians of Justice avec Denise Richards Starship Troopers et Will Yun Lee Altered Carbon. La série surprend en multipliant les styles visuels donnant lieu à un délire qui réinvente la Justice League de DC en mode série B au risque d'en devenir une. fan au volant, gare à tes dents Adi Shankar est un adepte des fans-fictions puisqu'il en a plusieurs à son actif, dont une qui avait fait du bruit sur internet à sa sortie en 2012, The Dirty Laundry. Ce court-métrage suit un homme à la laverie aidant un enfant victime de voyous en les tabassant, le justicier s'avérant être le Punisher de Marvel. Pour incarner le tueur de criminels, c'était Thomas Jane qui avait repris son rôle après le mauvais Punisher de 2004, laissant espérer que l'anti-héros revienne en film tant le court-métrage lui faisait honneur. Vous les connaissez tous sans avoir vu la série Avec The Guardians of Justice, Shankar a toutes les clés pour faire ce qu'il a toujours rêvé, réécrire Superman, Batman, Wonder Woman, et même Spider-Man dans un seul projet. Reprenant tous les codes de l'univers DC, essentiellement, avec la Justice League au complet et sa base dans un satellite, des ennemis emblématiques comme le Joker ou l'Homme-Mystère, des organisations criminelles telles que Hydra ou Cobra de Joe, la série frôle le plagiat en allant jusqu'à mettre des designs de personnages connus dans ses arrière-plans. Les costumes à peine changés et les noms modifiés de quelques lettres Laura Louis, la Loïs Lane de Denise Richards ressemblent à des enfants vous tirant la manche pour vous montrer quelque chose du doigt. Tous ces clins d'oeil font sourire et viennent surtout montrer le décalque de l'univers DC qu'incarne The Guardians of Justice. Ceci sert l'intention de Shankar qui a voulu créer sa propre histoire de la Justice League, faisant de sa série la fan-fiction ultime. Reconstitution de Batman soutenant Warner Justice league fan cut On a donc Superman Marvelous Man, un alien aux pouvoirs surhumains ayant mis fin à la Troisième Guerre mondiale, devenu un dieu vivant aimé de tous. Pourtant, coup de théâtre, l'homme le plus puissant de la Terre se suicide en direct à la télévision avec la seule balle pouvant le tuer. Knight Hawk, le Batman de 65 ans de cet univers incarné par un adepte des séries B Dallas Page, se met à enquêter alors que le monde, sans son protecteur, menace de sombrer dans la guerre nucléaire. Tout le monde est suspect, même les Gardiens. L'histoire de The Guardians of Justice tient la route principalement parce qu'on établit les parallèles entre cette série policière super-héroïque et l'univers DC. On ne voit pas Awesome Man et Golden Goddess qui s'affronte, mais Shazam et Wonder Woman. La série est un pur délire de fans pour les accros du genre. Le problème est que son intrigue ne vit que par ça. Si on croit en Knight Hawk et son désir de venger son ami, ou en ses capacités d'enquêteur, c'est parce qu'on y voit Batman et son amitié avec Superman. Ainsi, les origines des différents Gardiens et de leurs pouvoirs sont à peine expliquées, voire complètement zappées, car la série considère que l'on connaît le matériau dont elle s'inspire. Super-pas-la-forme The Guardians of Justice s'écarte ainsi d'une partie du public peu connaisseur de Shazam ou Flash. Malgré tout, cela permet à la série de soulever des points sur ces super-héros cultes. Par exemple, le fait que Superman culpabilise de ne pouvoir aider des personnes en danger s'il dort, ou de s'intéresser à l'idée que les justiciers côtoient la violence au quotidien, les conduisant à chercher refuge dans la drogue. Cependant, trop de personnages restent à la place de figurants ne servant qu'à incarner une nouvelle référence. Un choix décevant quand on voit que des scènes de flashbacks reviennent pour raconter plusieurs fois la même chose. Le récit donne cette impression d'une histoire issue d'une conversation de fans imaginant une vie à leurs héros. Déstructurée, hachée, l'histoire principale est bourrée pour tenir en sept épisodes passant petit à petit de 20 minutes à plus de 30 minutes. Les enjeux sont là, les rebondissements aussi, mais le tout est épileptique et obligé d'utiliser à outrance des extraits de faux reportages et interviews parfois les mêmes quand il s'agit de présentateurs étrangers à qui des sous-titres différents sont attribués pour raconter l'escalade des événements. La série ne se repose que trop rarement pour laisser souffler les super-héros dans des scènes plus calmes. Knight Hawk prenant sous son aile son futur sidekick le youtube poop des comics Ce qui fait que Guardians of Justice est un pur ovni dans le catalogue Netflix c'est sa direction artistique qui peut se résumer à "tout mettre jusqu'à ce que ça déborde". Il suffit de voir la bande-annonce pour se demander ce qu'on vient de voir. Est-ce que la série tient ce rythme tout du long ? Oh que oui ! Pas une scène n'est similaire à celle qui précède et lui succèdera, donnant lieu à un montage complètement délirant appuyé par des bruitages cartoonesques. Le créateur de la série a voulu mettre tout ce qui l'inspirait, peu importe si cela fait sens. On se retrouve ainsi avec des séquences en pixel art, puis de l'animation japonaise reprenant les visages de Dragon Ball Z, de la 3D, des maquettes, de la pâte à modeler, du montage d'images d'archives, tout y passe, souvent avec beaucoup de réussite et de soin. Les combats affichent des barres de vie, tandis que certains affrontements font apparaître des impacts façon comics, alors que d'autres ajoutent des effets d'animations imitant les Looney Tunes sur les acteurs. Le tout dans un déluge de gore montrant toute la liberté créative qu'a eu la série. Si la narration est sous coke, le montage et les visuels sont sous acide. Quand ton casque a fondu au micro-ondes À l'image de son montage, le casting offre des performances en roue libre. Dallas Page donne tout en ersatz de Batman vieillissant et donneur d'ordres, au point d'être régulièrement dans le surjeu. C'est de toute façon le cas de beaucoup des acteurs et actrices venus de films oubliés qui peinent dans des décors pauvres ou des fonds verts. Will Yun Lee est l'un des plus justes en Marvelous Man cachant ses failles derrière les muscles hypertrophiés de son costume. La plus grosse surprise du casting est de voir RJ Mitte Walter White Jr dans Breaking Bad dans le rôle d'un anti-héros aux scènes parmi les plus réussies. Dans l'ensemble, le casting ressemble au rassemblement des guests de conventions. Pour autant, si on rentre dans le délire, The Guardians of Justice est amusant, mais frustrant. Sachant que vous ne savez pas à quelle sauce sera mangée la prochaine scène, on peut avoir une bonne surprise avec une animation dynamique et épique, comme tomber sur une séquence en mode première personne mal filmée et dans un décor vide. Terriblement inégale, l'image de la série de Adi Shankar pèche surtout dans les scènes de dialogues avec des acteurs. Ne jamais mélanger les drogues tarte au kitsch Faite dans des décors assumés comme étant en carton, avec des acteurs dans des costumes en papier machés, la série revendique son côté fan made et kitsch. Cependant, des scènes inondées dans la fumée et la lumière de néons peuvent faire suite à des incrustations de qualité ou de bonnes idées de montage. Volontairement nanar par moment, mais mettant les moyens dans d'autres, la différence d'attention à la qualité fait surtout ressortir ce que la série n'a pas pu se permettre. Enchainer la représentation d'un personnage stylisé façon comics avec un plan d'un acteur maquillé par arrosage de peinture, ça vous brise la rétine et l'émotion d'une scène. Les plus folles théories entourent la présence du figurant torse nu Adi Shankar n'est pourtant pas un manche pour faire preuve d'inventivité malgré le manque de moyens. Il suffit d'aller regarder son court-métrage Truth in journalisme qui reprend l'idée du film belge C'est arrivé près de chez vous. Le personnage de Benoît Poelvoorde y est remplacé par Eddie Brock, l'hôte du symbiote Venom, se faisant filmer par une équipe de tournage alors qu'il intervient sur des scènes de crime. Malgré le budget serré, Venom apparaît dans une mise en scène de qualité jouant sur le hors-champ et le noir et blanc. Cette créativité n'existe pas dans les scènes en live action de The Guardians of Justice qui ne cherche pas à cacher que tout tient avec du scotch, empêchant de rentrer dans cet univers. La frontière entre le nanar voulu et les rattrapages en post-prod est ténue, et on se demande de quels côtés se trouve la série quand on est face à des scènes réutilisant trois fois le même plan. Heureusement, la roulette russe des variétés des styles visuels donne envie de continuer de regarder, même si on reste déçu qu'il n'y ait pas plus de créativité dans le style home-made. Adi Shankar The Guardians of Justice reste une proposition complètement folle dans le catalogue Netflix et rappelle l'excellent et tout aussi barré court-métrage Kung Fury et le traitement des super-héros dans Kick-Ass, Brightburn et The Boys. La série est une lettre d'amour à l'univers geek qui montre bien à quel point le terme ne veut plus rien dire tant il englobe de médias. Manga, jeux vidéo, nanars, comics, séries, dessins animés, toute la culture des années 80 à nos jours s'y trouve. Pourtant, bien que copie low-budget de DC et Marvel, la série offre dans ses derniers épisodes des moments forts sur des sujets trop peu traités dans les films super-héroïques. Contrairement à ses modèles, le show de Adi Shankar va jusqu'au bout de son idée et n'est pas bloqué par un besoin de retourner à un statu quo pour ses personnages. The Guardians of Justice est disponible en intégralité sur Netflix depuis le 1er mars 2022. Résumé The Guardians of Justice est la fan-fiction ultime, libre et sans retenue. Cela en fait autant ses forces que ses faiblesses, car les intentions sont bonnes, raconter une Justice League like en péril, mais l'exécution rend un milkshake grumeleux qui déborde de choses à montrer et à dire. Adi Shankar a sûrement réalisé avec passion un rêve qui risque d'être vu que par ceux prêts pour ce trip geekesque. Newsletter Ecranlarge Recevez chaque jour les news, critiques et dossiers essentiels d'Écran Large. Vous n'êtes pas d'accord avec nous ?Raison de plus pour vous abonner ! Je soutiens la liberté critique
the guardians of justice saison 2